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Habiter un village en herbe : un guide du PNR pour de nouvelles pratiques de gestion des espaces communaux
L’omniprésence des produits chimiques dits phytosanitaires dans les sols, l’air, l’eau, a entraîné ces dernières années une prise de conscience collective qui rend aujourd’hui acceptable l’interdiction, par paliers successifs, de leur usage dans les espaces publics et les jardins particuliers.
Le Parc naturel régional du Vexin français avait anticipé cette interdiction en encourageant les communes à engager une démarche de réduction volontaire. Après un démarrage un peu difficile, l’adhésion s’est vite étendue. Mais il reste de multiples questions pratiques dont les réponses émergent au rythme de l’expérience collective qui commence à s’accumuler. Une rupture dans les pratiques s’impose ; ce qui suppose une véritable révolution des comportements.
Élus, agents techniques, écologues, paysagistes, agriculteurs, jardiniers, habitants… doivent développer la "cogitation collective", l’innovation, le dialogue, l’échange d’expérience, la pédagogie pour faire, ensemble, face à ce défi . Chacun de nous doit aussi changer son regard et apprendre à s’émerveiller de la nature ordinaire.
Le petit guide " Habiter un village en herbe " (A télécharger sur le site du PNR) explique les nouvelles pratiques de gestion des espaces communaux : ce qui change et ce qui va changer.
Il s’inscrit dans la continuité des films "Villages en herbe", recueil de témoignages apportant des points de vue différents. Il enseigne à observer. Il informe et explique pour aider à comprendre, pour accompagner le changement et pour fonder son argumentation face à certaines idées reçues.
Infos pratiques
Connaissez-vous l’histoire du colibri ? A méditer !
Un jour, dit une légende amérindienne, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés et atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour le jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit :
- Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu éteindras le feu ! Et le colibri lui répondit : Je le sais, mais je fais ma part - !
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